The guava tree is a familiar tree in our gardens, roadsides, wastelands and fields. Although originating in tropical America where it took its name from an Amerindian language (guyaba from Arawak), introduced in the Philippines and India and now in all tropical countries, it reproduces with great rapidity to the point, in some cases, to be a nuisance for crops.
It is a small tree without much pace with opposite, slightly downy leaves, white, axillary, isolated flowers, with puff-puff stamens. The fruit is a globose berry crowned at the top by the calyx scar; there are many varieties of guava, from the small yellowish fruit when ripe, common here and not very fragrant, to the large white guava called curiously, here as in the West Indies, “French guava”, passing by the pink guava, certainly the most fragrant and which gives its aroma to juices and confectionery.
Laotians prefer to eat unripe guavas, with salt and chilli, they are a delicacy sold by street vendors in their small glass trailer.
In countries that have an agro-food industry, guava is a basic product for making juices, jams, fruit jellies and flavorings used in pastry and confectionery; alcohol is also made from it.
The guava tree is also a medicinal plant recognized as such in all tropical countries. In Laos, as elsewhere it is its effectiveness in intestinal problems that is sought after; in an apparent paradox the green fruit is astringent and it is used for mild diarrhoea, but ripe it is laxative. Infusions of leaves or bark are also astringent. The roots are said to be diuretic and good for urinary problems.
The Institute of Traditional Medicine recommends using the young leaves picked at the beginning of the rainy season, boiling them (40gr for 1 liter of water) and drinking this liquid throughout the day in case of problems. intestinal; this same decoction is good for cleaning wounds.
Let us add to conclude that clinical studies have been carried out in different countries which recognize the effectiveness of guava in the pathologies mentioned.
Le goyavier est un arbre familier de nos jardins, des bords de route, des friches et des champs. Bien qu’originaire d’Amérique tropicale où il a pris son nom à une langue amérindienne (guyaba de l’arawak), introduit aux Philippines et en Inde et maintenant dans tous les pays tropicaux, il se reproduit avec une grande rapidité au point, dans certain cas, d’être une gêne pour les cultures.
C’est un petit arbre sans beaucoup d’allure aux feuilles opposées, légèrement duveteuses, aux fleurs blanches, axillaires, isolées, aux étamines en houppette. Le fruit est une baie globuleuse couronnée au sommet par la cicatrice du calice; il y a de très nombreuses variétés de goyaves, depuis le petit fruit jaunâtre à maturité, courant ici et pas très parfumé, à la grosse goyave blanche appelée curieusement, ici comme aux Antilles, « goyave française », en passant par la goyave rose, certainement la plus parfumée et qui donne son arôme aux jus et confiseries.
Les Laotiens préfèrent manger les goyaves non mûres, avec du sel et du piment, elles constituent une friandise vendue par les marchands ambulants dans leur petite roulotte vitrée.
Dans les pays qui ont une industrie agro-alimentaire, la goyave est un produit de base pour fabriquer des jus, des confitures, des pâtes de fruits et des arômes utilisés en pâtisserie et en confiserie; on en fait aussi des alcools.
Le goyavier est aussi une plante médicinale reconnue comme telle dans tous les pays tropicaux. Au Laos comme ailleurs c’est son efficacité dans les problèmes intestinaux qui est recherchée; dans un apparent paradoxe le fruit vert est astringent et on l’emploie pour les diarrhées légères, mais mûr il est laxatif. Les infusions de feuilles ou d’écorce sont également astringentes. Les racines seraient diurétiques et bonnes pour les problèmes urinaires.
L’Institut de médecine traditionnelle recommande d’utiliser les jeunes feuilles cueillies au début de la saison des pluies, de les faire bouillir (40gr pour 1 litre d’eau) et de boire ce liquide tout au long de la journée en cas de problèmes intestinaux; cette même décoction est bonne pour nettoyer les plaies.
Ajoutons pour conclure que des études cliniques ont été menées dans différents pays qui reconnaissent l’efficacité du goyavier dans les pathologies citées.
![Image](https://www.pha-tad-ke.com/wp-content/uploads/2022/12/Capture.png)
![Image](https://www.pha-tad-ke.com/wp-content/uploads/2022/12/2-Guava-grown-in-Laos.jpg)
![Image](https://www.pha-tad-ke.com/wp-content/uploads/2022/12/3-Ripe-guava-note-the-calyx-scar.jpg)
![Image](https://www.pha-tad-ke.com/wp-content/uploads/2022/12/4-Guavas-in-the-market-most-are-not-yet-ripe-according-to-Lao-taste.jpg)
![Image](https://www.pha-tad-ke.com/wp-content/uploads/2022/12/5-A-very-large-fruited-variety-is-sold-in-a-refrigerated-trailer-with-unripe-mangoes.jpg)
The guava tree is a familiar tree in our gardens, roadsides, wastelands and fields. Although originating in tropical America where it took its name from an Amerindian language (guyaba from Arawak), introduced in the Philippines and India and now in all tropical countries, it reproduces with great rapidity to the point, in some cases, to be a nuisance for crops.
It is a small tree without much pace with opposite, slightly downy leaves, white, axillary, isolated flowers, with puff-puff stamens. The fruit is a globose berry crowned at the top by the calyx scar; there are many varieties of guava, from the small yellowish fruit when ripe, common here and not very fragrant, to the large white guava called curiously, here as in the West Indies, “French guava”, passing by the pink guava, certainly the most fragrant and which gives its aroma to juices and confectionery.
Laotians prefer to eat unripe guavas, with salt and chilli, they are a delicacy sold by street vendors in their small glass trailer.
In countries that have an agro-food industry, guava is a basic product for making juices, jams, fruit jellies and flavorings used in pastry and confectionery; alcohol is also made from it.
The guava tree is also a medicinal plant recognized as such in all tropical countries. In Laos, as elsewhere it is its effectiveness in intestinal problems that is sought after; in an apparent paradox the green fruit is astringent and it is used for mild diarrhoea, but ripe it is laxative. Infusions of leaves or bark are also astringent. The roots are said to be diuretic and good for urinary problems.
The Institute of Traditional Medicine recommends using the young leaves picked at the beginning of the rainy season, boiling them (40gr for 1 liter of water) and drinking this liquid throughout the day in case of problems. intestinal; this same decoction is good for cleaning wounds.
Let us add to conclude that clinical studies have been carried out in different countries which recognize the effectiveness of guava in the pathologies mentioned.
Le goyavier est un arbre familier de nos jardins, des bords de route, des friches et des champs. Bien qu’originaire d’Amérique tropicale où il a pris son nom à une langue amérindienne (guyaba de l’arawak), introduit aux Philippines et en Inde et maintenant dans tous les pays tropicaux, il se reproduit avec une grande rapidité au point, dans certain cas, d’être une gêne pour les cultures.
C’est un petit arbre sans beaucoup d’allure aux feuilles opposées, légèrement duveteuses, aux fleurs blanches, axillaires, isolées, aux étamines en houppette. Le fruit est une baie globuleuse couronnée au sommet par la cicatrice du calice; il y a de très nombreuses variétés de goyaves, depuis le petit fruit jaunâtre à maturité, courant ici et pas très parfumé, à la grosse goyave blanche appelée curieusement, ici comme aux Antilles, « goyave française », en passant par la goyave rose, certainement la plus parfumée et qui donne son arôme aux jus et confiseries.
Les Laotiens préfèrent manger les goyaves non mûres, avec du sel et du piment, elles constituent une friandise vendue par les marchands ambulants dans leur petite roulotte vitrée.
Dans les pays qui ont une industrie agro-alimentaire, la goyave est un produit de base pour fabriquer des jus, des confitures, des pâtes de fruits et des arômes utilisés en pâtisserie et en confiserie; on en fait aussi des alcools.
Le goyavier est aussi une plante médicinale reconnue comme telle dans tous les pays tropicaux. Au Laos comme ailleurs c’est son efficacité dans les problèmes intestinaux qui est recherchée; dans un apparent paradoxe le fruit vert est astringent et on l’emploie pour les diarrhées légères, mais mûr il est laxatif. Les infusions de feuilles ou d’écorce sont également astringentes. Les racines seraient diurétiques et bonnes pour les problèmes urinaires.
L’Institut de médecine traditionnelle recommande d’utiliser les jeunes feuilles cueillies au début de la saison des pluies, de les faire bouillir (40gr pour 1 litre d’eau) et de boire ce liquide tout au long de la journée en cas de problèmes intestinaux; cette même décoction est bonne pour nettoyer les plaies.
Ajoutons pour conclure que des études cliniques ont été menées dans différents pays qui reconnaissent l’efficacité du goyavier dans les pathologies citées.
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The guava tree is a familiar tree in our gardens, roadsides, wastelands and fields. Although originating in tropical America where it took its name from an Amerindian language (guyaba from Arawak), introduced in the Philippines and India and now in all tropical countries, it reproduces with great rapidity to the point, in some cases, to be a nuisance for crops.
It is a small tree without much pace with opposite, slightly downy leaves, white, axillary, isolated flowers, with puff-puff stamens. The fruit is a globose berry crowned at the top by the calyx scar; there are many varieties of guava, from the small yellowish fruit when ripe, common here and not very fragrant, to the large white guava called curiously, here as in the West Indies, “French guava”, passing by the pink guava, certainly the most fragrant and which gives its aroma to juices and confectionery.
Laotians prefer to eat unripe guavas, with salt and chilli, they are a delicacy sold by street vendors in their small glass trailer.
In countries that have an agro-food industry, guava is a basic product for making juices, jams, fruit jellies and flavorings used in pastry and confectionery; alcohol is also made from it.
The guava tree is also a medicinal plant recognized as such in all tropical countries. In Laos, as elsewhere it is its effectiveness in intestinal problems that is sought after; in an apparent paradox the green fruit is astringent and it is used for mild diarrhoea, but ripe it is laxative. Infusions of leaves or bark are also astringent. The roots are said to be diuretic and good for urinary problems.
The Institute of Traditional Medicine recommends using the young leaves picked at the beginning of the rainy season, boiling them (40gr for 1 liter of water) and drinking this liquid throughout the day in case of problems. intestinal; this same decoction is good for cleaning wounds.
Let us add to conclude that clinical studies have been carried out in different countries which recognize the effectiveness of guava in the pathologies mentioned.
Le goyavier est un arbre familier de nos jardins, des bords de route, des friches et des champs. Bien qu’originaire d’Amérique tropicale où il a pris son nom à une langue amérindienne (guyaba de l’arawak), introduit aux Philippines et en Inde et maintenant dans tous les pays tropicaux, il se reproduit avec une grande rapidité au point, dans certain cas, d’être une gêne pour les cultures.
C’est un petit arbre sans beaucoup d’allure aux feuilles opposées, légèrement duveteuses, aux fleurs blanches, axillaires, isolées, aux étamines en houppette. Le fruit est une baie globuleuse couronnée au sommet par la cicatrice du calice; il y a de très nombreuses variétés de goyaves, depuis le petit fruit jaunâtre à maturité, courant ici et pas très parfumé, à la grosse goyave blanche appelée curieusement, ici comme aux Antilles, « goyave française », en passant par la goyave rose, certainement la plus parfumée et qui donne son arôme aux jus et confiseries.
Les Laotiens préfèrent manger les goyaves non mûres, avec du sel et du piment, elles constituent une friandise vendue par les marchands ambulants dans leur petite roulotte vitrée.
Dans les pays qui ont une industrie agro-alimentaire, la goyave est un produit de base pour fabriquer des jus, des confitures, des pâtes de fruits et des arômes utilisés en pâtisserie et en confiserie; on en fait aussi des alcools.
Le goyavier est aussi une plante médicinale reconnue comme telle dans tous les pays tropicaux. Au Laos comme ailleurs c’est son efficacité dans les problèmes intestinaux qui est recherchée; dans un apparent paradoxe le fruit vert est astringent et on l’emploie pour les diarrhées légères, mais mûr il est laxatif. Les infusions de feuilles ou d’écorce sont également astringentes. Les racines seraient diurétiques et bonnes pour les problèmes urinaires.
L’Institut de médecine traditionnelle recommande d’utiliser les jeunes feuilles cueillies au début de la saison des pluies, de les faire bouillir (40gr pour 1 litre d’eau) et de boire ce liquide tout au long de la journée en cas de problèmes intestinaux; cette même décoction est bonne pour nettoyer les plaies.
Ajoutons pour conclure que des études cliniques ont été menées dans différents pays qui reconnaissent l’efficacité du goyavier dans les pathologies citées.