The Artemisia genus comprises approximately 400 types of aromatic grasses throughout the entire northern hemisphere, but, in recent years, it is the Chinese Artemisia, Artemisia annua, that is primarily talked about, because it is thought that it could be an effective remedy for malaria. It is cultivated in Laos, but there is another Artemisia, not so well-known as its Chinese cousin, but nevertheless very popular: the Artemisia lactiflora, which has white flowers and its leaves are more indented than others of the Artemisia genus.
The Lao call it dok keo and use it to combat fevers and to treat contusions and fractures.
The Hmong put it in their chicken soup to strengthen it and the Thai fry the leaves and mix them with pig’s blood to make a soup.
The Hmong also use the aromatic benefits of this Artemisia by placing a leaf in one’s armpit in cases of excessive perspiration.
Le genre Artemisia comprend à peu près 400 espèces d’herbes odorantes répandues dans tout l’hémisphère nord, mais ces dernières années c’est l’armoise chinoise, Artemisia annua, dont tout le monde parle car on pense qu’elle pourrait être un remède efficace contre le paludisme. Elle est cultivée au Laos mais une autre armoise qui n’a pas la notoriété de sa cousine chinoise y est très appréciée, il s’agit d’Artemisia lactiflora aux fleurs blanches et aux feuilles moins découpées que les autres armoises.
Les Laos la nomment dok kèo et l’utilisent contre les fièvres et pour soigner les contusions et les fractures.
Les Hmong la mettent dans leur soupe de poulet pour avoir de la force et les Thaï font frire les feuilles qu’ils mélangent ensuite à du sang de cochon pour faire une soupe.
Les Hmong utilisent également les vertus aromatiques de cette armoise puisqu’ils en glissent une feuille sous les aisselles en cas de transpiration abondante.
The Artemisia genus comprises approximately 400 types of aromatic grasses throughout the entire northern hemisphere, but, in recent years, it is the Chinese Artemisia, Artemisia annua, that is primarily talked about, because it is thought that it could be an effective remedy for malaria. It is cultivated in Laos, but there is another Artemisia, not so well-known as its Chinese cousin, but nevertheless very popular: the Artemisia lactiflora, which has white flowers and its leaves are more indented than others of the Artemisia genus.
The Lao call it dok keo and use it to combat fevers and to treat contusions and fractures.
The Hmong put it in their chicken soup to strengthen it and the Thai fry the leaves and mix them with pig’s blood to make a soup.
The Hmong also use the aromatic benefits of this Artemisia by placing a leaf in one’s armpit in cases of excessive perspiration.
Le genre Artemisia comprend à peu près 400 espèces d’herbes odorantes répandues dans tout l’hémisphère nord, mais ces dernières années c’est l’armoise chinoise, Artemisia annua, dont tout le monde parle car on pense qu’elle pourrait être un remède efficace contre le paludisme. Elle est cultivée au Laos mais une autre armoise qui n’a pas la notoriété de sa cousine chinoise y est très appréciée, il s’agit d’Artemisia lactiflora aux fleurs blanches et aux feuilles moins découpées que les autres armoises.
Les Laos la nomment dok kèo et l’utilisent contre les fièvres et pour soigner les contusions et les fractures.
Les Hmong la mettent dans leur soupe de poulet pour avoir de la force et les Thaï font frire les feuilles qu’ils mélangent ensuite à du sang de cochon pour faire une soupe.
Les Hmong utilisent également les vertus aromatiques de cette armoise puisqu’ils en glissent une feuille sous les aisselles en cas de transpiration abondante.
The Artemisia genus comprises approximately 400 types of aromatic grasses throughout the entire northern hemisphere, but, in recent years, it is the Chinese Artemisia, Artemisia annua, that is primarily talked about, because it is thought that it could be an effective remedy for malaria. It is cultivated in Laos, but there is another Artemisia, not so well-known as its Chinese cousin, but nevertheless very popular: the Artemisia lactiflora, which has white flowers and its leaves are more indented than others of the Artemisia genus.
The Lao call it dok keo and use it to combat fevers and to treat contusions and fractures.
The Hmong put it in their chicken soup to strengthen it and the Thai fry the leaves and mix them with pig’s blood to make a soup.
The Hmong also use the aromatic benefits of this Artemisia by placing a leaf in one’s armpit in cases of excessive perspiration.
Le genre Artemisia comprend à peu près 400 espèces d’herbes odorantes répandues dans tout l’hémisphère nord, mais ces dernières années c’est l’armoise chinoise, Artemisia annua, dont tout le monde parle car on pense qu’elle pourrait être un remède efficace contre le paludisme. Elle est cultivée au Laos mais une autre armoise qui n’a pas la notoriété de sa cousine chinoise y est très appréciée, il s’agit d’Artemisia lactiflora aux fleurs blanches et aux feuilles moins découpées que les autres armoises.
Les Laos la nomment dok kèo et l’utilisent contre les fièvres et pour soigner les contusions et les fractures.
Les Hmong la mettent dans leur soupe de poulet pour avoir de la force et les Thaï font frire les feuilles qu’ils mélangent ensuite à du sang de cochon pour faire une soupe.
Les Hmong utilisent également les vertus aromatiques de cette armoise puisqu’ils en glissent une feuille sous les aisselles en cas de transpiration abondante.