Polyalthia longifolia

Scientific name:
Plant family:
Common name:
Lao name:
Polyalthia longifolia (Sonn.) Thwaites
Annonaceae
Telegraph Pole Tree
(tone Asok)

We see this tree everywhere in the cities of Laos, yet it does not have an official name. Some friends have suggested calling it hou katay which translates to ‘hare’s ears.’ For foreigners, Polyalthia longifolia is originally from Sri Lanka.

It is easily recognizable by its tall, pyramid-like structure. The slender, straight trunk can reach up to fifteen meters, resembling a ship’s mast or rigging in French, and more like a telegraph pole in English. If you observe its branches, you’ll notice how many there are. The leaves also give the impression of drooping; they are elongated, alternate, pointed, slightly curved, with a distinctly undulated margin. When young, they have a bronze color, turning to a beautiful dark green and shiny tone as they age. Flowers, which are small and fragrant, in the shape of waxy stars, appear from February onwards. The fruits, in clusters of about twenty, emerge in June.

In recent years, there has been a lot of hype in the world. Polyalthia longifolia is commonly found in the Northern regions of India and is often associated with temple gardens. Due to the beauty of Saraca indica, many gardens in Asoka’s garden have adopted it. In Laos, some use the name tone Asok, recalling the great king who spread Buddhism throughout the entire Indian subcontinent, including Ceylon and Indonesia. However, we have also heard tone ha soksao or tone hay soksao; soksao means sad because ‘the tree droops its leaves as if it were sad,’ and phonetically, it’s not far from tone Asok. This is what linguists call etymological reassignment.

Throughout this region, the tree is considered a medicinal plant; its leaves contain a rich essential oil used in skincare. Chemical analyses of bark extracts reveal numerous components, some of which may have antibacterial properties. Additionally, the seeds are a rich source of amino acids.

In Laos, tone Asok is planted as an ornamental tree. The port’s son is rigid in the country and serves as a tourist attraction. The port is dense, and the forest is protected by a dense cover.


On voit partout cet arbre dans les villes au Laos et pourtant il n’a pas encore de nom officiel; certains amis nous ont proposé hou katay, « oreilles de lièvre »; d’autres préfèrent dire tone Asok en reprenant le nom indien, car Polyalthia longifolia vient d’Inde et du Sri Lanka.

Il est très reconnaissable à son architecture en pyramide élancée; son tronc fin, très droit qui peut atteindre une quinzaine de mètres évoque en français le mât ou la mâture d’un navire alors qu’en anglais on pense plutôt au poteau télégraphique; ce tronc est d’ailleurs caché, la plupart du temps, par des branches dirigées vers le bas. Les feuilles elles aussi donnent l’impression de pendre; elles sont très allongées, alternes, pointues, légèrement arquées avec une marge nettement ondulée; couleur bronze quand elles sont jeunes, elles prennent en vieillissant un beau ton vert, foncé et brillant. Les fleurs, difficile à voir à travers le feuillage, apparaissent dès février; elles sont petites et parfumées, en forme d’étoile cireuse. Les fruits, en grappe d’une vingtaine, sortent en juin; verts au début ils prennent en mûrissant une couleur violacée.

Polyalthia longifolia est vénéré dans le Nord de l’Inde par les Hindous qui le plantent dans leur temple; ils le nomment Asoka parce que ses feuilles ressemblent à celles de Saraca indica, le véritable arbre du roi Asoka, que l’on trouve dans le Sud de l’Inde. Au Laos certain adopte ce nom qui rappelle le grand roi qui propageât le Bouddhisme dans tout le continent indien jusqu’à Ceylan et en Indonésie; cependant nous avons entendu aussi tone ha soksao ou tone hay soksao ; soksao veut dire triste car « l’arbre penche ses feuilles comme s’il était triste, et phonétiquement on n’est pas loin de tone Asok, c’est ce que les linguistes nomment une remotivation étymologique.

Dans toute cette région l’arbre est considéré comme médicament; ses feuilles contiennent une riche huile essentielle employée dans les soins de la peau; l’écorce est utilisée pour faire baisser la fièvre. D’ailleurs les analyses chimiques d’extrait d’écorce montrent de nombreux composants dont certains auraient une activité antibactérienne; en outre, les graines sont une riche source d’aminoacides.

Au Laos tone Asok est planté comme arbre décoratif; son port rigide n’est pas très attrayant mais lorsque les pieds sont très serrés ils constituent un véritable mur de verdure qui a l’avantage de faire barrage au bruit.

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Regular and columnar port of Telegraph Pole Tree
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Hanging leaves give an impression of sadness
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Small greenish flowers form clusters often hidden under the leaves
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Star flowers are fragrant and waxy
Scientific name:
Polyalthia longifolia (Sonn.) Thwaites
Plant family:
Annonaceae
Common name:
Telegraph Pole Tree
Lao name:
(tone Asok)

We see this tree everywhere in the cities of Laos, yet it does not have an official name. Some friends have suggested calling it hou katay which translates to ‘hare’s ears.’ For foreigners, Polyalthia longifolia is originally from Sri Lanka.

It is easily recognizable by its tall, pyramid-like structure. The slender, straight trunk can reach up to fifteen meters, resembling a ship’s mast or rigging in French, and more like a telegraph pole in English. If you observe its branches, you’ll notice how many there are. The leaves also give the impression of drooping; they are elongated, alternate, pointed, slightly curved, with a distinctly undulated margin. When young, they have a bronze color, turning to a beautiful dark green and shiny tone as they age. Flowers, which are small and fragrant, in the shape of waxy stars, appear from February onwards. The fruits, in clusters of about twenty, emerge in June.

In recent years, there has been a lot of hype in the world. Polyalthia longifolia is commonly found in the Northern regions of India and is often associated with temple gardens. Due to the beauty of Saraca indica, many gardens in Asoka’s garden have adopted it. In Laos, some use the name tone Asok, recalling the great king who spread Buddhism throughout the entire Indian subcontinent, including Ceylon and Indonesia. However, we have also heard tone ha soksao or tone hay soksao; soksao means sad because ‘the tree droops its leaves as if it were sad,’ and phonetically, it’s not far from tone Asok. This is what linguists call etymological reassignment.

Throughout this region, the tree is considered a medicinal plant; its leaves contain a rich essential oil used in skincare. Chemical analyses of bark extracts reveal numerous components, some of which may have antibacterial properties. Additionally, the seeds are a rich source of amino acids.

In Laos, tone Asok is planted as an ornamental tree. The port’s son is rigid in the country and serves as a tourist attraction. The port is dense, and the forest is protected by a dense cover.


On voit partout cet arbre dans les villes au Laos et pourtant il n’a pas encore de nom officiel; certains amis nous ont proposé hou katay, « oreilles de lièvre »; d’autres préfèrent dire tone Asok en reprenant le nom indien, car Polyalthia longifolia vient d’Inde et du Sri Lanka.

Il est très reconnaissable à son architecture en pyramide élancée; son tronc fin, très droit qui peut atteindre une quinzaine de mètres évoque en français le mât ou la mâture d’un navire alors qu’en anglais on pense plutôt au poteau télégraphique; ce tronc est d’ailleurs caché, la plupart du temps, par des branches dirigées vers le bas. Les feuilles elles aussi donnent l’impression de pendre; elles sont très allongées, alternes, pointues, légèrement arquées avec une marge nettement ondulée; couleur bronze quand elles sont jeunes, elles prennent en vieillissant un beau ton vert, foncé et brillant. Les fleurs, difficile à voir à travers le feuillage, apparaissent dès février; elles sont petites et parfumées, en forme d’étoile cireuse. Les fruits, en grappe d’une vingtaine, sortent en juin; verts au début ils prennent en mûrissant une couleur violacée.

Polyalthia longifolia est vénéré dans le Nord de l’Inde par les Hindous qui le plantent dans leur temple; ils le nomment Asoka parce que ses feuilles ressemblent à celles de Saraca indica, le véritable arbre du roi Asoka, que l’on trouve dans le Sud de l’Inde. Au Laos certain adopte ce nom qui rappelle le grand roi qui propageât le Bouddhisme dans tout le continent indien jusqu’à Ceylan et en Indonésie; cependant nous avons entendu aussi tone ha soksao ou tone hay soksao ; soksao veut dire triste car « l’arbre penche ses feuilles comme s’il était triste, et phonétiquement on n’est pas loin de tone Asok, c’est ce que les linguistes nomment une remotivation étymologique.

Dans toute cette région l’arbre est considéré comme médicament; ses feuilles contiennent une riche huile essentielle employée dans les soins de la peau; l’écorce est utilisée pour faire baisser la fièvre. D’ailleurs les analyses chimiques d’extrait d’écorce montrent de nombreux composants dont certains auraient une activité antibactérienne; en outre, les graines sont une riche source d’aminoacides.

Au Laos tone Asok est planté comme arbre décoratif; son port rigide n’est pas très attrayant mais lorsque les pieds sont très serrés ils constituent un véritable mur de verdure qui a l’avantage de faire barrage au bruit.

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Regular and columnar port of Telegraph Pole Tree
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Hanging leaves give an impression of sadness
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Small greenish flowers form clusters often hidden under the leaves
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Star flowers are fragrant and waxy
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Regular and columnar port of Telegraph Pole Tree
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Hanging leaves give an impression of sadness
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Small greenish flowers form clusters often hidden under the leaves
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Star flowers are fragrant and waxy
Scientific name:
Polyalthia longifolia (Sonn.) Thwaites
Plant family:
Annonaceae
Common name:
Telegraph Pole Tree
Lao name:
(tone Asok)

We see this tree everywhere in the cities of Laos, yet it does not have an official name. Some friends have suggested calling it hou katay which translates to ‘hare’s ears.’ For foreigners, Polyalthia longifolia is originally from Sri Lanka.

It is easily recognizable by its tall, pyramid-like structure. The slender, straight trunk can reach up to fifteen meters, resembling a ship’s mast or rigging in French, and more like a telegraph pole in English. If you observe its branches, you’ll notice how many there are. The leaves also give the impression of drooping; they are elongated, alternate, pointed, slightly curved, with a distinctly undulated margin. When young, they have a bronze color, turning to a beautiful dark green and shiny tone as they age. Flowers, which are small and fragrant, in the shape of waxy stars, appear from February onwards. The fruits, in clusters of about twenty, emerge in June.

In recent years, there has been a lot of hype in the world. Polyalthia longifolia is commonly found in the Northern regions of India and is often associated with temple gardens. Due to the beauty of Saraca indica, many gardens in Asoka’s garden have adopted it. In Laos, some use the name tone Asok, recalling the great king who spread Buddhism throughout the entire Indian subcontinent, including Ceylon and Indonesia. However, we have also heard tone ha soksao or tone hay soksao; soksao means sad because ‘the tree droops its leaves as if it were sad,’ and phonetically, it’s not far from tone Asok. This is what linguists call etymological reassignment.

Throughout this region, the tree is considered a medicinal plant; its leaves contain a rich essential oil used in skincare. Chemical analyses of bark extracts reveal numerous components, some of which may have antibacterial properties. Additionally, the seeds are a rich source of amino acids.

In Laos, tone Asok is planted as an ornamental tree. The port’s son is rigid in the country and serves as a tourist attraction. The port is dense, and the forest is protected by a dense cover.


On voit partout cet arbre dans les villes au Laos et pourtant il n’a pas encore de nom officiel; certains amis nous ont proposé hou katay, « oreilles de lièvre »; d’autres préfèrent dire tone Asok en reprenant le nom indien, car Polyalthia longifolia vient d’Inde et du Sri Lanka.

Il est très reconnaissable à son architecture en pyramide élancée; son tronc fin, très droit qui peut atteindre une quinzaine de mètres évoque en français le mât ou la mâture d’un navire alors qu’en anglais on pense plutôt au poteau télégraphique; ce tronc est d’ailleurs caché, la plupart du temps, par des branches dirigées vers le bas. Les feuilles elles aussi donnent l’impression de pendre; elles sont très allongées, alternes, pointues, légèrement arquées avec une marge nettement ondulée; couleur bronze quand elles sont jeunes, elles prennent en vieillissant un beau ton vert, foncé et brillant. Les fleurs, difficile à voir à travers le feuillage, apparaissent dès février; elles sont petites et parfumées, en forme d’étoile cireuse. Les fruits, en grappe d’une vingtaine, sortent en juin; verts au début ils prennent en mûrissant une couleur violacée.

Polyalthia longifolia est vénéré dans le Nord de l’Inde par les Hindous qui le plantent dans leur temple; ils le nomment Asoka parce que ses feuilles ressemblent à celles de Saraca indica, le véritable arbre du roi Asoka, que l’on trouve dans le Sud de l’Inde. Au Laos certain adopte ce nom qui rappelle le grand roi qui propageât le Bouddhisme dans tout le continent indien jusqu’à Ceylan et en Indonésie; cependant nous avons entendu aussi tone ha soksao ou tone hay soksao ; soksao veut dire triste car « l’arbre penche ses feuilles comme s’il était triste, et phonétiquement on n’est pas loin de tone Asok, c’est ce que les linguistes nomment une remotivation étymologique.

Dans toute cette région l’arbre est considéré comme médicament; ses feuilles contiennent une riche huile essentielle employée dans les soins de la peau; l’écorce est utilisée pour faire baisser la fièvre. D’ailleurs les analyses chimiques d’extrait d’écorce montrent de nombreux composants dont certains auraient une activité antibactérienne; en outre, les graines sont une riche source d’aminoacides.

Au Laos tone Asok est planté comme arbre décoratif; son port rigide n’est pas très attrayant mais lorsque les pieds sont très serrés ils constituent un véritable mur de verdure qui a l’avantage de faire barrage au bruit.