Carambola Tree is a small tree of 4 to 6 metres with compound leaves and pink or purple flowers in bunches. The fruit is an oblong, yellow, fleshy, five-cornered berry that contains many seeds. It is probably native to Ceylon and the Molucca Islands.
This fruit, which can be more or less acidic, has several uses in cooking. While still green, it can be used to make sour soups. When ripe, it can be eaten as a vegetable or fruit. If you slice it crosswise, you can make pretty stars that are very decorative on a cake, for example. The English sometimes call this fruit Starfruit. It is also used to make very good jams.
Carambola is also used in the composition of mieng, a Luang Prabang delicacy made of “ginger, chilli, garlic, lemongrass, carambola, green banana and fish brine, all wrapped in a tea leaf“. These mieng are regularly offered to the spirits. In addition, tone mak feuang leaves are used in ritual sprinkling rites.
Because of their high acidity, the fruits are used, like vinegar or lemon, to remove rust stains and clean metals.
And like most acidic plants, it has uses in traditional medicine. The flowers are said to have vermifuge properties; the roots, in combination with others, are antidotes to poisoning; the fruit or leaves are rubbed on the skin to combat hives. The fruit is prescribed as a refreshing and anti-scorbutic. Indeed, carambola and bilimbi were once a valuable aid in the fight against scurvy, a disease suffered by sailors who go to sea for long months without fresh food, especially vitamin C. It is likely that this is why Linnaeus named this genus Averrhoa, after one of the greatest thinkers of Muslim Spain, Averroes, who practiced medicine in Córdoba in the XII century.
Carambola Tree est un petit arbre de 4 à 6 mètres aux feuilles composées, aux fleurs roses ou violettes en grappes. Le fruit est une baie oblongue, jaune, charnue, à 5 angles saillants qui contient de nombreuses graines. Il est sans doute originaire de Ceylan et des îles Moluques.
Ce fruit qui peut être plus ou moins acide a plusieurs utilisations en cuisine. Encore vert il permet de confectionner des soupes acides. Plus mûre il se mange comme légume ou comme fruit. Si on le coupe en tranches dans le sens de la largeur on obtient de jolies étoiles très décoratives sur un gâteau par exemple. D’ailleurs, les Anglais nomment parfois ce fruit Starfruit. On en confectionne également de très bonnes confitures.
La carambole entre aussi dans la composition des mieng, friandises de Louang Prabang composées « de gingembre, de piment, d’ail, de citronnelle, de carambole, de banane verte et de saumure de poisson, le tout enveloppé dans une feuille de thé ». Ces mieng sont régulièrement offertes aux esprits. Par ailleurs les feuilles de tone mak feuang sont utilisées dans les rites d’aspersion rituelle.
Par leur forte acidité les fruits sont employés, comme le vinaigre ou le citron, pour enlever les tâches de rouille et nettoyer les métaux.
Et comme la plupart des plantes acides, celle-ci a des emplois en médicine traditionnelle. On attribue aux fleurs des vertus vermifuges ; les racines, associées à d’autres, sont des antidotes contre les empoisonnements ; les fruits ou les feuilles sont frottés sur la peau pour combattre l’urticaire. Le fruit est prescrit comme rafraîchissant et anti scorbutique. En effet, carambole et bilimbi étaient autrefois d’un précieux secours pour lutter contre le scorbut, cette maladie des marins qui partent en mer de longs mois sans apport alimentaire frais, en particulier en vitamine C ; on peut d’ailleurs penser que c’est pour cette raison que Linné a nommé ce genre Averrhoa, du nom de l’un des plus grands penseurs de l’Espagne musulmane, Averroès, qui exerça la médecine à Cordoue au XIIème siècle.
Carambola Tree is a small tree of 4 to 6 metres with compound leaves and pink or purple flowers in bunches. The fruit is an oblong, yellow, fleshy, five-cornered berry that contains many seeds. It is probably native to Ceylon and the Molucca Islands.
This fruit, which can be more or less acidic, has several uses in cooking. While still green, it can be used to make sour soups. When ripe, it can be eaten as a vegetable or fruit. If you slice it crosswise, you can make pretty stars that are very decorative on a cake, for example. The English sometimes call this fruit Starfruit. It is also used to make very good jams.
Carambola is also used in the composition of mieng, a Luang Prabang delicacy made of “ginger, chilli, garlic, lemongrass, carambola, green banana and fish brine, all wrapped in a tea leaf“. These mieng are regularly offered to the spirits. In addition, tone mak feuang leaves are used in ritual sprinkling rites.
Because of their high acidity, the fruits are used, like vinegar or lemon, to remove rust stains and clean metals.
And like most acidic plants, it has uses in traditional medicine. The flowers are said to have vermifuge properties; the roots, in combination with others, are antidotes to poisoning; the fruit or leaves are rubbed on the skin to combat hives. The fruit is prescribed as a refreshing and anti-scorbutic. Indeed, carambola and bilimbi were once a valuable aid in the fight against scurvy, a disease suffered by sailors who go to sea for long months without fresh food, especially vitamin C. It is likely that this is why Linnaeus named this genus Averrhoa, after one of the greatest thinkers of Muslim Spain, Averroes, who practiced medicine in Córdoba in the XII century.
Carambola Tree est un petit arbre de 4 à 6 mètres aux feuilles composées, aux fleurs roses ou violettes en grappes. Le fruit est une baie oblongue, jaune, charnue, à 5 angles saillants qui contient de nombreuses graines. Il est sans doute originaire de Ceylan et des îles Moluques.
Ce fruit qui peut être plus ou moins acide a plusieurs utilisations en cuisine. Encore vert il permet de confectionner des soupes acides. Plus mûre il se mange comme légume ou comme fruit. Si on le coupe en tranches dans le sens de la largeur on obtient de jolies étoiles très décoratives sur un gâteau par exemple. D’ailleurs, les Anglais nomment parfois ce fruit Starfruit. On en confectionne également de très bonnes confitures.
La carambole entre aussi dans la composition des mieng, friandises de Louang Prabang composées « de gingembre, de piment, d’ail, de citronnelle, de carambole, de banane verte et de saumure de poisson, le tout enveloppé dans une feuille de thé ». Ces mieng sont régulièrement offertes aux esprits. Par ailleurs les feuilles de tone mak feuang sont utilisées dans les rites d’aspersion rituelle.
Par leur forte acidité les fruits sont employés, comme le vinaigre ou le citron, pour enlever les tâches de rouille et nettoyer les métaux.
Et comme la plupart des plantes acides, celle-ci a des emplois en médicine traditionnelle. On attribue aux fleurs des vertus vermifuges ; les racines, associées à d’autres, sont des antidotes contre les empoisonnements ; les fruits ou les feuilles sont frottés sur la peau pour combattre l’urticaire. Le fruit est prescrit comme rafraîchissant et anti scorbutique. En effet, carambole et bilimbi étaient autrefois d’un précieux secours pour lutter contre le scorbut, cette maladie des marins qui partent en mer de longs mois sans apport alimentaire frais, en particulier en vitamine C ; on peut d’ailleurs penser que c’est pour cette raison que Linné a nommé ce genre Averrhoa, du nom de l’un des plus grands penseurs de l’Espagne musulmane, Averroès, qui exerça la médecine à Cordoue au XIIème siècle.
Carambola Tree is a small tree of 4 to 6 metres with compound leaves and pink or purple flowers in bunches. The fruit is an oblong, yellow, fleshy, five-cornered berry that contains many seeds. It is probably native to Ceylon and the Molucca Islands.
This fruit, which can be more or less acidic, has several uses in cooking. While still green, it can be used to make sour soups. When ripe, it can be eaten as a vegetable or fruit. If you slice it crosswise, you can make pretty stars that are very decorative on a cake, for example. The English sometimes call this fruit Starfruit. It is also used to make very good jams.
Carambola is also used in the composition of mieng, a Luang Prabang delicacy made of “ginger, chilli, garlic, lemongrass, carambola, green banana and fish brine, all wrapped in a tea leaf“. These mieng are regularly offered to the spirits. In addition, tone mak feuang leaves are used in ritual sprinkling rites.
Because of their high acidity, the fruits are used, like vinegar or lemon, to remove rust stains and clean metals.
And like most acidic plants, it has uses in traditional medicine. The flowers are said to have vermifuge properties; the roots, in combination with others, are antidotes to poisoning; the fruit or leaves are rubbed on the skin to combat hives. The fruit is prescribed as a refreshing and anti-scorbutic. Indeed, carambola and bilimbi were once a valuable aid in the fight against scurvy, a disease suffered by sailors who go to sea for long months without fresh food, especially vitamin C. It is likely that this is why Linnaeus named this genus Averrhoa, after one of the greatest thinkers of Muslim Spain, Averroes, who practiced medicine in Córdoba in the XII century.
Carambola Tree est un petit arbre de 4 à 6 mètres aux feuilles composées, aux fleurs roses ou violettes en grappes. Le fruit est une baie oblongue, jaune, charnue, à 5 angles saillants qui contient de nombreuses graines. Il est sans doute originaire de Ceylan et des îles Moluques.
Ce fruit qui peut être plus ou moins acide a plusieurs utilisations en cuisine. Encore vert il permet de confectionner des soupes acides. Plus mûre il se mange comme légume ou comme fruit. Si on le coupe en tranches dans le sens de la largeur on obtient de jolies étoiles très décoratives sur un gâteau par exemple. D’ailleurs, les Anglais nomment parfois ce fruit Starfruit. On en confectionne également de très bonnes confitures.
La carambole entre aussi dans la composition des mieng, friandises de Louang Prabang composées « de gingembre, de piment, d’ail, de citronnelle, de carambole, de banane verte et de saumure de poisson, le tout enveloppé dans une feuille de thé ». Ces mieng sont régulièrement offertes aux esprits. Par ailleurs les feuilles de tone mak feuang sont utilisées dans les rites d’aspersion rituelle.
Par leur forte acidité les fruits sont employés, comme le vinaigre ou le citron, pour enlever les tâches de rouille et nettoyer les métaux.
Et comme la plupart des plantes acides, celle-ci a des emplois en médicine traditionnelle. On attribue aux fleurs des vertus vermifuges ; les racines, associées à d’autres, sont des antidotes contre les empoisonnements ; les fruits ou les feuilles sont frottés sur la peau pour combattre l’urticaire. Le fruit est prescrit comme rafraîchissant et anti scorbutique. En effet, carambole et bilimbi étaient autrefois d’un précieux secours pour lutter contre le scorbut, cette maladie des marins qui partent en mer de longs mois sans apport alimentaire frais, en particulier en vitamine C ; on peut d’ailleurs penser que c’est pour cette raison que Linné a nommé ce genre Averrhoa, du nom de l’un des plus grands penseurs de l’Espagne musulmane, Averroès, qui exerça la médecine à Cordoue au XIIème siècle.