This Fabaceae, little known in Europe, was named by the French tamarin sauvage, tone kan thin for the Laotians.
This shrub is native to tropical America but it is cultivated and naturalized in Laos where the white pompons of its flowers appear at the end of the rainy season.
Kan thin or rather phak kan thin is indeed one of the many vegetables that Laotians enjoy. The young leaves, the flowers, but especially the fresh and raw pods are eaten as an accompaniment to lap and other meat or fish dishes; this tree thus constitutes a significant food resource.
Kan thin also provides excellent fodder but not for all animals since equines, says Petelot, would lose their hair by consuming too much of it; one then misunderstands the English name of the plant: Horse Tamarind, unless is it a warning? The plant would also be toxic for rabbits.
Kan thin is used in traditional medicine as a tonic; the dried roots would be an antidote to the venom of scorpions, centipedes and snakes.
Kan thin also has a symbolic function, at least among the Hmongs where, when an evil spirit is suspected to be the cause of a fever in a baby, the baby is bathed in cold water in which wild tamarind fruits have been thrown.
Cette Fabacée, peu connue en Europe, a été baptisée par le français tamarin sauvage, tone kan thin pour les Laotiens.
Cet arbuste est originaire d’Amérique tropicale mais il est cultivé et naturalisé au Laos où les pompons blancs de ses fleurs apparaissent à la fin de la saison des pluies.
Kan thin ou plutôt phak kan thin est, en effet, l’un de ces nombreux légumes dont se régalent les Laotiens. Les jeunes feuilles, les fleurs, mais surtout les gousses fraîches et crues sont mangées en accompagnement des lap et autres plats de viande ou de poisson; cet arbre constitue ainsi une ressource alimentaire non négligeable.
Kan thin fournit également un excellent fourrage mais pas pour tous les animaux puisque les équidés, dit Petelot, perdraient leur poil en en consommant trop; on comprend mal alors le nom anglais de la plante: Horse Tamarind, à moins qu’il ne constitue un avertissement ? La plante serait aussi toxique pour les lapins.
Kan thin est utilisé en médecine traditionnelle comme tonique; les racines séchées seraient un antidote du venin des scorpions, des mille-pattes et des serpents.
Kan thin a enfin une fonction symbolique, en tous les cas chez les Hmongs où, lorsque l’on soupçonne un mauvais esprit d’être la cause d’une fièvre chez le bébé, on baigne celui-ci dans une eau froide où ont été jetés des fruits de tamarin sauvage.
This Fabaceae, little known in Europe, was named by the French tamarin sauvage, tone kan thin for the Laotians.
This shrub is native to tropical America but it is cultivated and naturalized in Laos where the white pompons of its flowers appear at the end of the rainy season.
Kan thin or rather phak kan thin is indeed one of the many vegetables that Laotians enjoy. The young leaves, the flowers, but especially the fresh and raw pods are eaten as an accompaniment to lap and other meat or fish dishes; this tree thus constitutes a significant food resource.
Kan thin also provides excellent fodder but not for all animals since equines, says Petelot, would lose their hair by consuming too much of it; one then misunderstands the English name of the plant: Horse Tamarind, unless is it a warning? The plant would also be toxic for rabbits.
Kan thin is used in traditional medicine as a tonic; the dried roots would be an antidote to the venom of scorpions, centipedes and snakes.
Kan thin also has a symbolic function, at least among the Hmongs where, when an evil spirit is suspected to be the cause of a fever in a baby, the baby is bathed in cold water in which wild tamarind fruits have been thrown.
Cette Fabacée, peu connue en Europe, a été baptisée par le français tamarin sauvage, tone kan thin pour les Laotiens.
Cet arbuste est originaire d’Amérique tropicale mais il est cultivé et naturalisé au Laos où les pompons blancs de ses fleurs apparaissent à la fin de la saison des pluies.
Kan thin ou plutôt phak kan thin est, en effet, l’un de ces nombreux légumes dont se régalent les Laotiens. Les jeunes feuilles, les fleurs, mais surtout les gousses fraîches et crues sont mangées en accompagnement des lap et autres plats de viande ou de poisson; cet arbre constitue ainsi une ressource alimentaire non négligeable.
Kan thin fournit également un excellent fourrage mais pas pour tous les animaux puisque les équidés, dit Petelot, perdraient leur poil en en consommant trop; on comprend mal alors le nom anglais de la plante: Horse Tamarind, à moins qu’il ne constitue un avertissement ? La plante serait aussi toxique pour les lapins.
Kan thin est utilisé en médecine traditionnelle comme tonique; les racines séchées seraient un antidote du venin des scorpions, des mille-pattes et des serpents.
Kan thin a enfin une fonction symbolique, en tous les cas chez les Hmongs où, lorsque l’on soupçonne un mauvais esprit d’être la cause d’une fièvre chez le bébé, on baigne celui-ci dans une eau froide où ont été jetés des fruits de tamarin sauvage.
This Fabaceae, little known in Europe, was named by the French tamarin sauvage, tone kan thin for the Laotians.
This shrub is native to tropical America but it is cultivated and naturalized in Laos where the white pompons of its flowers appear at the end of the rainy season.
Kan thin or rather phak kan thin is indeed one of the many vegetables that Laotians enjoy. The young leaves, the flowers, but especially the fresh and raw pods are eaten as an accompaniment to lap and other meat or fish dishes; this tree thus constitutes a significant food resource.
Kan thin also provides excellent fodder but not for all animals since equines, says Petelot, would lose their hair by consuming too much of it; one then misunderstands the English name of the plant: Horse Tamarind, unless is it a warning? The plant would also be toxic for rabbits.
Kan thin is used in traditional medicine as a tonic; the dried roots would be an antidote to the venom of scorpions, centipedes and snakes.
Kan thin also has a symbolic function, at least among the Hmongs where, when an evil spirit is suspected to be the cause of a fever in a baby, the baby is bathed in cold water in which wild tamarind fruits have been thrown.
Cette Fabacée, peu connue en Europe, a été baptisée par le français tamarin sauvage, tone kan thin pour les Laotiens.
Cet arbuste est originaire d’Amérique tropicale mais il est cultivé et naturalisé au Laos où les pompons blancs de ses fleurs apparaissent à la fin de la saison des pluies.
Kan thin ou plutôt phak kan thin est, en effet, l’un de ces nombreux légumes dont se régalent les Laotiens. Les jeunes feuilles, les fleurs, mais surtout les gousses fraîches et crues sont mangées en accompagnement des lap et autres plats de viande ou de poisson; cet arbre constitue ainsi une ressource alimentaire non négligeable.
Kan thin fournit également un excellent fourrage mais pas pour tous les animaux puisque les équidés, dit Petelot, perdraient leur poil en en consommant trop; on comprend mal alors le nom anglais de la plante: Horse Tamarind, à moins qu’il ne constitue un avertissement ? La plante serait aussi toxique pour les lapins.
Kan thin est utilisé en médecine traditionnelle comme tonique; les racines séchées seraient un antidote du venin des scorpions, des mille-pattes et des serpents.
Kan thin a enfin une fonction symbolique, en tous les cas chez les Hmongs où, lorsque l’on soupçonne un mauvais esprit d’être la cause d’une fièvre chez le bébé, on baigne celui-ci dans une eau froide où ont été jetés des fruits de tamarin sauvage.