You have probably already noticed the large, candelabra-shaped, orange-yellow flowers of this plant, which is native to tropical America and flowers from November onwards. Its leaves are particularly large, 50 to 60 cm long, composed of leaflets of about ten centimetres, and its pods are long and flattened. It is cultivated but also naturalized and can be found in slightly damp wasteland, for example on the edge of ponds.
In all regions where it grows, this plant is sought after to treat skin diseases (darting), hence its French name “dartrier”. In Laos, the leaves are crushed and applied to the diseased areas. In Cambodia, it is used to make an ointment. In Vietnam, the leaves are mixed with an oil that treats goat and sheep gall. In the West Indies, the leaves are macerated in curative baths.
In Thailand and Laos, the young leaves are also used to make a laxative decoction, but this treatment should be avoided because it can have harmful side effects in the long term.
Vous avez sans doute déjà remarqué les grandes fleurs jaunes orangées en forme de candélabre de cette plante originaire d’Amérique tropicale qui fleurit dès le mois de novembre. Ses feuilles sont particulièrement grandes, 50 à 60 cm de long, composées de folioles d’une dizaine de centimètres, ses gousses sont longues et aplaties. Elle est cultivée mais aussi naturalisée et on la rencontre dans les terrains en friche un peu humides, au bord des marres par exemple.
Dans toutes les régions où elle pousse cette plante est recherchée pour soigner les maladies de peau (dartres) d’où son nom français « dartrier ». Au Laos, on écrase les feuilles et on les applique sur les parties malades. Au Cambodge, on en fait une pommade. Au Vietnam, on mélange ces feuilles avec une huile qui traite la galle des chèvres et des moutons. Aux Antilles, les feuilles sont mises à macérer dans des bains curatifs.
En Thaïlande et au Laos, les jeunes feuilles sont aussi utilisées pour faire une décoction laxative dont il faut cependant se méfier car, à long terme, ce traitement peut avoir des effets secondaires néfastes.
You have probably already noticed the large, candelabra-shaped, orange-yellow flowers of this plant, which is native to tropical America and flowers from November onwards. Its leaves are particularly large, 50 to 60 cm long, composed of leaflets of about ten centimetres, and its pods are long and flattened. It is cultivated but also naturalized and can be found in slightly damp wasteland, for example on the edge of ponds.
In all regions where it grows, this plant is sought after to treat skin diseases (darting), hence its French name “dartrier”. In Laos, the leaves are crushed and applied to the diseased areas. In Cambodia, it is used to make an ointment. In Vietnam, the leaves are mixed with an oil that treats goat and sheep gall. In the West Indies, the leaves are macerated in curative baths.
In Thailand and Laos, the young leaves are also used to make a laxative decoction, but this treatment should be avoided because it can have harmful side effects in the long term.
Vous avez sans doute déjà remarqué les grandes fleurs jaunes orangées en forme de candélabre de cette plante originaire d’Amérique tropicale qui fleurit dès le mois de novembre. Ses feuilles sont particulièrement grandes, 50 à 60 cm de long, composées de folioles d’une dizaine de centimètres, ses gousses sont longues et aplaties. Elle est cultivée mais aussi naturalisée et on la rencontre dans les terrains en friche un peu humides, au bord des marres par exemple.
Dans toutes les régions où elle pousse cette plante est recherchée pour soigner les maladies de peau (dartres) d’où son nom français « dartrier ». Au Laos, on écrase les feuilles et on les applique sur les parties malades. Au Cambodge, on en fait une pommade. Au Vietnam, on mélange ces feuilles avec une huile qui traite la galle des chèvres et des moutons. Aux Antilles, les feuilles sont mises à macérer dans des bains curatifs.
En Thaïlande et au Laos, les jeunes feuilles sont aussi utilisées pour faire une décoction laxative dont il faut cependant se méfier car, à long terme, ce traitement peut avoir des effets secondaires néfastes.
You have probably already noticed the large, candelabra-shaped, orange-yellow flowers of this plant, which is native to tropical America and flowers from November onwards. Its leaves are particularly large, 50 to 60 cm long, composed of leaflets of about ten centimetres, and its pods are long and flattened. It is cultivated but also naturalized and can be found in slightly damp wasteland, for example on the edge of ponds.
In all regions where it grows, this plant is sought after to treat skin diseases (darting), hence its French name “dartrier”. In Laos, the leaves are crushed and applied to the diseased areas. In Cambodia, it is used to make an ointment. In Vietnam, the leaves are mixed with an oil that treats goat and sheep gall. In the West Indies, the leaves are macerated in curative baths.
In Thailand and Laos, the young leaves are also used to make a laxative decoction, but this treatment should be avoided because it can have harmful side effects in the long term.
Vous avez sans doute déjà remarqué les grandes fleurs jaunes orangées en forme de candélabre de cette plante originaire d’Amérique tropicale qui fleurit dès le mois de novembre. Ses feuilles sont particulièrement grandes, 50 à 60 cm de long, composées de folioles d’une dizaine de centimètres, ses gousses sont longues et aplaties. Elle est cultivée mais aussi naturalisée et on la rencontre dans les terrains en friche un peu humides, au bord des marres par exemple.
Dans toutes les régions où elle pousse cette plante est recherchée pour soigner les maladies de peau (dartres) d’où son nom français « dartrier ». Au Laos, on écrase les feuilles et on les applique sur les parties malades. Au Cambodge, on en fait une pommade. Au Vietnam, on mélange ces feuilles avec une huile qui traite la galle des chèvres et des moutons. Aux Antilles, les feuilles sont mises à macérer dans des bains curatifs.
En Thaïlande et au Laos, les jeunes feuilles sont aussi utilisées pour faire une décoction laxative dont il faut cependant se méfier car, à long terme, ce traitement peut avoir des effets secondaires néfastes.