The badamier is present everywhere in the streets of the towns and villages of Laos, where it is planted in particular to provide shade. It is a large tree that can reach up to 20 meters, its leaves are oval, 20 to 30 cm, and can make you think of deer ears, which is also where its Lao name comes from: tone hou kouang (“deer ear tree”). Its many tiny flowers form a hairy spike, its fruit is oval, smooth, and the seed inside is the shape and size of an almond.
The badamier would be native to the Moluccas and it is now planted as an avenue or ornamental tree in all tropical countries. Indeed its stepped, horizontal branches, allow a very successful parasol pruning, provided that the lower branches are pruned and the top is regularly pruned, which is not done in Laos where our badamier is left to his own devices. and a “disheveled” look. Let us add that this tree loses its leaves each year, which turn red before falling.
Its fruit, the almond, is edible, with a particularly delicate flavor, but the stone, very hard, is difficult to break and the children who try it, along the roads, prefer in the end to use it as projectile. This almond contains a very good quality oil, extracted exclusively in an artisanal way, because in too small quantity to be exploited industrially.
The leaves are used in dyeing, and a friend points out to us that all those which one collects on the ground, in the pagodas, would be an additional income for the community.
A few medicinal uses are reported for this tree: the leaves can be infused into a tea against dysentery and they are also applied to painful joints; the bark, very rich in tannin, is astringent and also used against dysentery; flowers and leaves, finally, would also be diuretic
Le badamier est présent partout dans les rues des villes et des villages du Laos, où il est planté notamment pour donner de l’ombre. C’est un grand arbre pouvant atteindre jusqu’à 20 mètres, ses feuilles sont ovales, de 20 à 30 cm, et peuvent faire penser à des oreilles de cerf, c’est d’ailleurs de là que vient son nom lao: tone hou kouang (« arbre oreille de cerf »). Ses nombreuses fleurs minuscules forment un épi velu, son fruit est ovale, lisse, et la graine, à l’intérieur, a la forme et la taille d’une amande.
Le badamier serait originaire des Moluques et il est désormais planté comme arbre d’avenue ou d’ornement dans tous les pays tropicaux. En effet, ses branches étagées, horizontales, permettent une taille en parasol très réussie, à condition d’en élaguer les branches basses et d’étêter régulièrement le sommet, ce qui ne se fait pas au Laos où notre badamier est livré à lui-même et a une allure tout « échevelée ». Ajoutons que cet arbre perd chaque année ses feuilles qui rougissent avant de tomber.
Son fruit, l’amande, est comestible, de saveur particulièrement délicate, mais le noyau, très dur, est difficile à casser et les enfants qui s’y essaient, au bord des chemins, préfèrent en fin de compte s’en servir comme projectile. Cette amande contient une huile de très bonne qualité, extraite exclusivement de façon artisanale, car en trop faible quantité pour être exploitée industriellement.
Les feuilles sont utilisées en teinture, et une amie nous fait remarquer que toutes celles que l’on ramasse par terre, dans les pagodes, seraient un revenu supplémentaire pour la communauté.
Quelques usages médicinaux sont signalés pour cet arbre: les feuilles peuvent être infusées en tisane contre la dysenterie et elles sont également appliquées sur les articulations douloureuses; l’écorce, très riche en tanin, est astringente et utilisée également contre la dysenterie; les fleurs et les feuilles, enfin, seraient aussi diurétiques.




The badamier is present everywhere in the streets of the towns and villages of Laos, where it is planted in particular to provide shade. It is a large tree that can reach up to 20 meters, its leaves are oval, 20 to 30 cm, and can make you think of deer ears, which is also where its Lao name comes from: tone hou kouang (“deer ear tree”). Its many tiny flowers form a hairy spike, its fruit is oval, smooth, and the seed inside is the shape and size of an almond.
The badamier would be native to the Moluccas and it is now planted as an avenue or ornamental tree in all tropical countries. Indeed its stepped, horizontal branches, allow a very successful parasol pruning, provided that the lower branches are pruned and the top is regularly pruned, which is not done in Laos where our badamier is left to his own devices. and a “disheveled” look. Let us add that this tree loses its leaves each year, which turn red before falling.
Its fruit, the almond, is edible, with a particularly delicate flavor, but the stone, very hard, is difficult to break and the children who try it, along the roads, prefer in the end to use it as projectile. This almond contains a very good quality oil, extracted exclusively in an artisanal way, because in too small quantity to be exploited industrially.
The leaves are used in dyeing, and a friend points out to us that all those which one collects on the ground, in the pagodas, would be an additional income for the community.
A few medicinal uses are reported for this tree: the leaves can be infused into a tea against dysentery and they are also applied to painful joints; the bark, very rich in tannin, is astringent and also used against dysentery; flowers and leaves, finally, would also be diuretic
Le badamier est présent partout dans les rues des villes et des villages du Laos, où il est planté notamment pour donner de l’ombre. C’est un grand arbre pouvant atteindre jusqu’à 20 mètres, ses feuilles sont ovales, de 20 à 30 cm, et peuvent faire penser à des oreilles de cerf, c’est d’ailleurs de là que vient son nom lao: tone hou kouang (« arbre oreille de cerf »). Ses nombreuses fleurs minuscules forment un épi velu, son fruit est ovale, lisse, et la graine, à l’intérieur, a la forme et la taille d’une amande.
Le badamier serait originaire des Moluques et il est désormais planté comme arbre d’avenue ou d’ornement dans tous les pays tropicaux. En effet, ses branches étagées, horizontales, permettent une taille en parasol très réussie, à condition d’en élaguer les branches basses et d’étêter régulièrement le sommet, ce qui ne se fait pas au Laos où notre badamier est livré à lui-même et a une allure tout « échevelée ». Ajoutons que cet arbre perd chaque année ses feuilles qui rougissent avant de tomber.
Son fruit, l’amande, est comestible, de saveur particulièrement délicate, mais le noyau, très dur, est difficile à casser et les enfants qui s’y essaient, au bord des chemins, préfèrent en fin de compte s’en servir comme projectile. Cette amande contient une huile de très bonne qualité, extraite exclusivement de façon artisanale, car en trop faible quantité pour être exploitée industriellement.
Les feuilles sont utilisées en teinture, et une amie nous fait remarquer que toutes celles que l’on ramasse par terre, dans les pagodes, seraient un revenu supplémentaire pour la communauté.
Quelques usages médicinaux sont signalés pour cet arbre: les feuilles peuvent être infusées en tisane contre la dysenterie et elles sont également appliquées sur les articulations douloureuses; l’écorce, très riche en tanin, est astringente et utilisée également contre la dysenterie; les fleurs et les feuilles, enfin, seraient aussi diurétiques.








The badamier is present everywhere in the streets of the towns and villages of Laos, where it is planted in particular to provide shade. It is a large tree that can reach up to 20 meters, its leaves are oval, 20 to 30 cm, and can make you think of deer ears, which is also where its Lao name comes from: tone hou kouang (“deer ear tree”). Its many tiny flowers form a hairy spike, its fruit is oval, smooth, and the seed inside is the shape and size of an almond.
The badamier would be native to the Moluccas and it is now planted as an avenue or ornamental tree in all tropical countries. Indeed its stepped, horizontal branches, allow a very successful parasol pruning, provided that the lower branches are pruned and the top is regularly pruned, which is not done in Laos where our badamier is left to his own devices. and a “disheveled” look. Let us add that this tree loses its leaves each year, which turn red before falling.
Its fruit, the almond, is edible, with a particularly delicate flavor, but the stone, very hard, is difficult to break and the children who try it, along the roads, prefer in the end to use it as projectile. This almond contains a very good quality oil, extracted exclusively in an artisanal way, because in too small quantity to be exploited industrially.
The leaves are used in dyeing, and a friend points out to us that all those which one collects on the ground, in the pagodas, would be an additional income for the community.
A few medicinal uses are reported for this tree: the leaves can be infused into a tea against dysentery and they are also applied to painful joints; the bark, very rich in tannin, is astringent and also used against dysentery; flowers and leaves, finally, would also be diuretic
Le badamier est présent partout dans les rues des villes et des villages du Laos, où il est planté notamment pour donner de l’ombre. C’est un grand arbre pouvant atteindre jusqu’à 20 mètres, ses feuilles sont ovales, de 20 à 30 cm, et peuvent faire penser à des oreilles de cerf, c’est d’ailleurs de là que vient son nom lao: tone hou kouang (« arbre oreille de cerf »). Ses nombreuses fleurs minuscules forment un épi velu, son fruit est ovale, lisse, et la graine, à l’intérieur, a la forme et la taille d’une amande.
Le badamier serait originaire des Moluques et il est désormais planté comme arbre d’avenue ou d’ornement dans tous les pays tropicaux. En effet, ses branches étagées, horizontales, permettent une taille en parasol très réussie, à condition d’en élaguer les branches basses et d’étêter régulièrement le sommet, ce qui ne se fait pas au Laos où notre badamier est livré à lui-même et a une allure tout « échevelée ». Ajoutons que cet arbre perd chaque année ses feuilles qui rougissent avant de tomber.
Son fruit, l’amande, est comestible, de saveur particulièrement délicate, mais le noyau, très dur, est difficile à casser et les enfants qui s’y essaient, au bord des chemins, préfèrent en fin de compte s’en servir comme projectile. Cette amande contient une huile de très bonne qualité, extraite exclusivement de façon artisanale, car en trop faible quantité pour être exploitée industriellement.
Les feuilles sont utilisées en teinture, et une amie nous fait remarquer que toutes celles que l’on ramasse par terre, dans les pagodes, seraient un revenu supplémentaire pour la communauté.
Quelques usages médicinaux sont signalés pour cet arbre: les feuilles peuvent être infusées en tisane contre la dysenterie et elles sont également appliquées sur les articulations douloureuses; l’écorce, très riche en tanin, est astringente et utilisée également contre la dysenterie; les fleurs et les feuilles, enfin, seraient aussi diurétiques.